mardi 1 juin 2010

De deux choses l'une, l'autre c'est le soleil.


J'ai encore fais ce rêve. Le littoral me désespère. A contre courant tes pas : courant contre t’y es pas. Abîme de rêves effervescents. Mousseux comme le paracétamol dans l’eau trouble de ton verre à bière. 
La beauté est nonchalante, la beauté est inexplicable, la beauté n’est pas où on le pense. Et j’avais trouvé la beauté, mieux, je l’avais emprisonnée entre mes doigts. Mais comme tout ce qu’on emprisonne ; elle a filé. Et je filerai aussi vite que le temps, plus loin que le vent. Fugitive du corps dans lequel on m’a élue domicile. Fugitive de l’arceau qui colle à la peau. J’ai encore fais ce rêve. Et je sais que je le referai. L'espace d'un instant, majestueusement ; j'étais subjuguée. J'étais le souffle chaud de la Liberté.


J'étais l'aura fluorescent ; de songes évanescents. 



2 commentaires:

selim köroglu a dit…

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MaNAa a dit…

Magnifique photo et le texte est sublime <3