vendredi 25 juin 2010

Parfois, je le regardais et j'avais l'impression qu'il souriait. J'écris pour ne rien dire et me tais pour parler.


Traverser le vent sans plus réfléchir, sentir la brise réparatrice. 
Il y a des pluies acides qui vous tombent dessus et qui vous brûlent le coeur. Qui vous trempent de peur. Des lumières au fond de tunnels, tunnels de peines ; en rêve ont brisé nos chaînes. Et les instants intemporels qui frappent la poitrine éclaboussent de sourires les pellicules argentées ; les instants sont perlés. Les instants sont rêvés. 
Je voudrais seulement vivre l'abstrait. À grande bouffée.

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